2018 est une année de bouleversements pour Net Entertainement. Et malheureusement, ces changements auront une répercussion au niveau des opérateurs en ligne et des joueurs, notamment en France. En effet, l’éditeur suédois envisage d’accroître son marché vers de nouveaux horizons et a décidé de licencier le PDG Per Erikson.
Retrait sur quelques plateformes francophones
NetEnt est un des meilleurs éditeurs les plus prisés des Français à cause de la qualité des jeux qu’il met en ligne. Pourtant, suite aux réformes primordiales qui ont eu lieu au sein de la société, Net Entertainement ne fournit plus que trois plateformes francophones, à savoir Cresus Casino, Lucky 8 et Vegas Casino. Vous ne verrez donc plus les jeux de l’éditeur sur ces sites tant que les contrats qui les liaient à l’éditeur n’ont pas été renouvelés.
Net Ent est en train de réviser sa collaboration avec les casinos virtuels français. Ainsi, la liste des établissements « éliminés » pourrait encore s’accroitre, car selon les informations, le fournisseur veut travailler dans d’autres industries d’attractions plus rémunératrices.
Par ailleurs, un renouvellement interne a aussi lieu, notamment au sein de la direction.
Per Eriksson remercié
Le conseil d’administration, présidé par Vigo Carlund, a décidé de licencier Per Eriksson. La raison est parce qu’il n’a pas atteint les objectifs de croissance. Le conseil a jugé que les actions menées sous la direction du PDG ont été insuffisantes, ce qui a conduit à son renvoi.
Pour rappel, Per Eriksson a été à la tête de la direction de Net Ent depuis 2012. Durant ses cinq années de service, il a su développer le portefeuille de l’entreprise en l’implantant au sein de nouveaux marchés comme les Etats-Unis. Il était capable d’apporter l’innovation dans la société. Pour preuve, les jeux de qualité qui ont été mis en ligne.
La croissance de Net Ent a été des plus remarquables ces dernières années. Toutefois, il a dû abandonner trois marchés, à savoir l’Australie, la Pologne et la République Tchèque où les jeux en ligne sont interdits. Mais la société se porte très bien sur les marchés réglementés. Il est ainsi difficile de croire à la raison du renvoi du PDG.
Avant de trouver son successeur, c’est Therese Hilman qui dirige temporairement la société.